L’immobilier n’a ni l’argent, ni le temps d’essayer de déchiffrer les états d’esprits de ceux qui ont commis des forfaits dans son domaine. Par pure souveraineté, il se voudrait simplement exercé au maximum de son potentiel et dans les pures et dures règles de son art. Le couperet de l’immobilier tombe sans distinction de forme de forfait, dans un sens ou dans l’autre, et quelle que soit la personne. L’extrême prudence et les formations idoines doivent être de mise car rares sont ceux qui survivent les affres et désastres de leurs erreurs ou fautes dans le domaine.
La première chose à savoir est que l’erreur et la faute sont toutes maculées d’excès de confiance. L’erreur elle, est un acte mal perçu des autres, jamais discuté ni préalablement encadré, d’où son aspect involontaire. Cet aspect est corroboré par le manque d’appréciation ou d’évaluation réelle durant l’acte commis, d’où sa capacité à être comprise mais non pardonnée en immobilier, malgré son aspect involontaire.
La faute quant à elle, est dénuée de circonstances atténuantes du fait de sa préméditation. La faute est aussi un acte mal perçu des autres, mais préalablement discuté puis souvent encadré par des règlements ou lois, d’où son aspect volontaire. Cet aspect volontaire est corroboré par la précision et la bonne évaluation de l’acte commis d’où sa capacité à être dénoncée et même sanctionnée. Elle est volontaire parce qu’elle transforme l’erreur en faute de par sa violation flagrante de règles ou des lois.
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