Salomon Mbutcho ecrivain et batisseur

Salomon Mbutcho

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L’envie d’immigrer n’est-elle pas aussi suscitée par la supposée « belle vie » des autres immigrés ? (Extrait du livre « l’immigration clandestine ou le revers de la médaille » de Salomon MBUTCHO)
100- La différence entre l'exode rural et l' immigration
Quelle est la différence entre l’exode rural et l’immigration, extrait du livre « l’immigration clandestine ou le revers de la médaille » de Salomon MBUTCHO
8 – L’immobilier punit aussi bien l’erreur que la faute
L’immobilier punit aussi bien l’erreur que la faute, Extrait de « Le livre seing de l’immobilier », de Salomon MBUTCHO
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Le café, la carotte et l’œuf de la prison, extrait du livre « le Komiçariat, partie I, la découverte » de Salomon MBUTCHO
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Facebook existe dans les prisons d’Afrique, extrait du livre « le Komiçariat, partie I, la découverte » de Salomon MBUTCHO

L’Esprit de sacrifice en immobilier, selon Salomon Mbutcho

Il est important pour Mr Salomon Mbutcho de faire comprendre à ses lecteurs dès le départ que la lecture de certains de ses articles pour ceux qui ne croient pas en DIEU n’aurait aucun sens à leurs yeux donc aucun impact sauf changement de position ou tolérance absolue. Toutefois, il invite tout le monde à essayer de lire et comprendre au travers de ses lignes, que le succès n’est ni un mérite ni un privilège mais un acquis de naissance pour chaque être humain.

 

1.  Être prêt à se sacrifier pour les autres pour une vraie cause.

En dehors de son côté sacrificiel, l’esprit de sacrifice recèle d’un aspect naturellement humain caché et appelé l’opportunisme car, à chaque fois qu’on parle de sacrifice, on parle de prix à payer, et à chaque fois qu’on parle de prix payer on parle de ce qu’on attend en retour, soit un retour d’investissement. L’esprit de sacrifice revêt en général un aspect physique et un aspect spirituel. Et dans tous les deux cas, on ne se sacrifie que pour obtenir quelque chose de meilleur et de particulier en retour. Ce meilleur peut philosophiquement se définir sans se circonscrire et de plusieurs manières. Toutefois, en immobilier, les sacrifices seront toujours lourds, les attentes du meilleur toujours lentes et très progressives, mais le sentiment de satisfaction dans l’acquisition et l’exercice de ses connaissances sera beaucoup plus grand et récompensant.

Dans le domaine immobilier, l’aspect spirituel ne compte qu’au niveau personnel, toutefois, l’aspect physique du sacrifice doit se comprendre et s’appliquer pour une meilleure productivité professionnelle. Si le succès dans l’immobilier peut être fulgurant, il ne peut se révéler pleinement que par des sacrifices de soi. C’est un métier pour lequel, servir les autres en premier est la recette du succès car, cela permettra d’avoir un impact considérable dans la vie des autres et d’en acquérir une réputation.

Les questions à se poser quant à cet aspect sont: suis-je prêt à me sacrifier, pour qui me sacrifier et comment me sacrifier ? Et la réponse de mon père Timothée Mbutcho est très large et sans équivoque ni échappatoires pour ce métier: «Si tu n’as pas d’impact dans la vie des tiers tu n’es rien ».

 

2. Montrer qu’on est digne de confiance

L’immobilier est un métier qui fait et nourrit son homme au fil des années et non rapidement car toute chose faite rapidement est défaite rapidement. Gérer le patrimoine, gérer les héritages, assurer, faire des levées, faire les conceptions géométriques et cadastrales, faire les conceptions architecturales, concevoir le projet, maquetter, acheter, vendre, louer, construire, chercher des financements, chercher des autorisations, pour sa propre société ou pour des tiers, requiert une confiance maximale qui ne peut être forgée qu’avec le temps. On ne confie pas son bébé à n’importe qui.

En tenant compte du fait que nul n’est parfait et qu’aucun métier ne l’est non plus puisqu’ayant été créé par l’homme lui-même imparfait. Il sied alors de convenir de s’élever soi-même à un niveau répondant au maximum aux exigences du métier, mais aussi de ceux qui pourraient requérir nos services. Toutefois, le fait même d’attendre l’opinion des autres pour se sentir digne de confiance serait la première erreur et preuve de manque de confiance en soi et en sa gestion. C’est en se forgeant des principes forts du sens de la déontologie, de l’éthique immobilière et du devoir bien accompli, rehaussés d’un esprit de sacrifice sans commune mesure, qu’on réussit tôt ou tard à satisfaire nos propres attentes et exigences de gestion et de rigueur requises pour exercer et exceller dans l’immobilier. Ce n’est en réalité qu’arrivé à ce stade, que commence le vrai décollage. Ce processus varie selon les personnes et les traits de caractères, pour certains c’est rapide, et pour d’autres le processus d’adaptation traine. Il n’y a que cela qui fasse la différence entre les acteurs de l’immobilier. Voyez vous-mêmes.

 

3. Faire bénéficier de votre don

Mr Salomon Mbutcho considère préférable de définir ensemble la réussite comme: « la capacité d’un être humain à chercher, trouver, identifier, profiter et faire profiter de son don, tout en développant les autres». Elle doit aussi se manifester à moyen et à long terme sur les autres (collaborateurs, prestataires, clients, proches) de manière systématique en même temps qu’elle doit les bénéficier d’une manière ou d’une autre.

Lorsqu’on doit intégrer la police nationale et que notre candidature a été retenue, l’administration organise une fête en l’honneur des nouveaux recrus, et leur remet en même temps leurs outils de travail, les armes, les torches, les badges, les matraques etc…..Tous ces équipements sont des acquis dus au poste occupé. Le succès est un acquis dû au fait d’être un enfant de DIEU. Cependant, beaucoup de policiers outillés ont travaillé toute leur vie durant, sans avoir eu à utiliser leurs armes. Il en est de même pour tous les êtres humains qui sont nés avec leur don, mais n’ont jamais eu à l’utiliser, donc à manifester leur réussite.

Le don est alors comme un œuf issu de l’amour d’un coq et d’une poule. On doit le garder, le protéger, le couver, maitriser sa température ambiante et son hygrométrie, afin qu’il puisse produire un poussin ou une omelette selon le choix. A défaut de le faire, l’œuf ne servira jamais à rien. Ce n’est qu’après avoir fait les sacrifices idoines et acquis la sagesse requise, que commence à muer le don en soi. La connaissance, la maîtrise et l’adoption du caractère type et en posture d’humilité, vous rendra accessible à tous, donc disponible à faire profiter de votre éclosion.

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