Jamais quelqu’un ne prendra plus que cinq secondes pour se faire une idée de nous ou de notre entreprise. Un jugement réservé raté, est ce qui créé ce qu’on appelle communément « préjugés ». C’est comme le coup de foudre car, à la vue de notre personne ou de notre entreprise sur le net ou un journal, ce ne sera qu’en cinq secondes que le client (le juge) se permettra de se faire son idée.

Ce jugement est appelé jugement réservé parce qu’il est suspensif, comme une épée de Damoclès sur notre tête ou celle de l’entreprise jusqu’à ce que le client (le juge) se sente plus à l’aise et en sécurité. Le jugement réservé n’est pas absolu parce qu’il peut basculer d’un sens comme dans l’autre, à n’importe quel moment de la transaction.

En ce qui nous concerne, seule notre conscience doit nous permettre de faire une évaluation sincère, juste et sans pitié, de nous-même, afin de nous ajuster honnêtement, sincèrement et intellectuellement à notre nouvelle profession et aux besoins exclusifs de nos clients. Même si le point de vue des autres doit être une confirmation de ce que nous pensons déjà de nous-même, elle doit être une finalité et non une fixation et perte de temps pour nous.

Et pour cela il va falloir tout faire pour que tous nos interlocuteurs sentent notre énergie, notre envie de bien faire, mais surtout notre capacité à réaliser leurs projets.

90- « Ce que les gens pensent de vous ne doit en aucun cas vous importer ni vous affecter car :

• Le positif donne la grosse tête et pousse inconsciemment à sous-estimer la tâche à venir
• Le négatif risque de décourager avant même d’avoir essayé »

         Salomon MBUTCHO

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