Salomon Mbutcho ecrivain et batisseur

Salomon Mbutcho

Le proverbe qui dit : « Qui se sent morveux se mouche », parle en parabole de ceux qui tentent de réduire au silence, brutaliser physiquement ou verbalement les gardiens des temples des sociétés modernes, les traitant dans la même foulée de « délateurs ».

Dénoncer certains actes inacceptables dans une société qui se respecte est responsable, n’en déplaisent aux morveux. Il vaudrait mieux être traité de délateur que de refuser de dénoncer un acte pour lequel vous pourriez tacitement être complice. Ces actes souvent non arrêtés mènent à une escalade dont seuls les témoins passifs seront les futurs coupables de non-assistance devant les cours de tribunaux et devant l’histoire.

Si la justice est la mesure d’équilibre et de lucidité de toute société qui se veut équitable, respectable et durable, il est hautement recommandé de dénoncer et de farouchement combattre toutes formes d’injustice et de délits, quels qu’en soient leurs genres ou formes, et particulièrement la maltraitance, le vol et le meurtre.

Dénoncer ces trois choses ou tenter de le faire, est un devoir d’assistance voire de secours qui s’inscrit au plus haut de la noblesse car il concerne l’humanité elle-même.

 

188- « Dénonces ces trois choses :

L’injustice et/ ou la maltraitance

Le vol

Le meurtre »

           Salomon MBUTCHO

 

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