De la même manière que nul ne peut faire des omelettes sans casser des œufs, nul ne peut faire de l’immobilier sans confronter de temps en temps des litiges. Toutefois, lorsqu’il s’agit de litiges fonciers, les émotions sont aussi élevées que les enjeux. S’assurer en âme et conscience de ne pas être en tort est crucial et cela est le premier remède. La seconde partie du traitement consiste à prendre les doses des différents médicaments suivants :

• Le calmocétamol (pour ne jamais s’emporter quelque soit la gravité des litiges)
• L’avoxicilline (1 ou 2 avocats doivent être pris selon la gravité de la situation)
• La gendarmicine (Faire constater par un élément de la gendarmerie ou un huissier de justice)
• Le jugeralgan (Emmener le dossier devant un juge par le tribunal)
• La cloturasphon (Clôturer ses propriétés pour éviter certaines situations)
• Le cadastramil (Introduire les documents légaux et faire cadastrer)
• Le taxadol (Payer les taxes des institutions afférentes, pour sécuriser ses propriétés)

101- « Pour soigner la maladie appelée « litige foncier et injustice » faites-vous prescrire :

• Le calmocétamol (1matin, 1 midi et 1 soir)
• L’avoxicilline (1 ou 2 prises selon la gravité de la maladie)
• La gendarmicine (1 par semaine)
• Le jugeralgan (1 fois par mois)
• La cloturasphon (1 prise par parcelle et par an)
• Le cadastramil (1 prise par parcelle et par an)
• Le taxadol (1 ou 2 prises uniques, si c’est nécessaire)»

           Salomon MBUTCHO

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